– François Varillon, La souffrance de Dieu, Le Centurion 1975 –
Car s'il est indifférent [à Dieu] que je l'aime ou non, c'est que mon être lui importe peu ! Le sien lui suffit. Mais contradictoirement : celui qui aime ne se suffit pas. (70)
Dieu ne souffre pas parce qu'il aime ; il aime parce qu'il souffre. La souffrance est « tellement essentielle à la nature de Dieu qu'elle est la source même de son amour ». S'il n'en était pas ainsi, Dieu nous offrirait un « amour à bon marché ». (73)
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