– Auguste Valensin, La joie dans la foi, Aubier 1954, p. 106 –
Le père jésuite Auguste Valensin, au siècle dernier, a pu écrire cette prière que l’on retrouve parfois sur les souvenirs mortuaires de ses confrères : « Les sentiments que je voudrais avoir à cette heure (et que j’ai actuellement) : penser que je vais découvrir la Tendresse. Ô mon Père, merci de m’aimer ! Et ce n’est pas moi qui vous crierai que je suis indigne ! En tous cas, m’aimer, moi, tel que je suis, voilà qui est digne de vous, digne de l’amour essentiel, digne de l’amour essentiellement gratuit! »
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